En tant que Directeur du groupe Afrocentricity Think Tank, j’ai pu me procurer les déclarations de Vincent Hugeux, connu en France comme un journaliste, qui semble avoir des positions très arrêtées sur l’Afrique. Il est connu parmi la Diaspora africaine, notamment à Lille où il enseigne, pour régulièrement afficher des positions et promouvoir des affirmations à l’emporte-pièce. Il est depuis longtemps considéré comme un journaliste politiquement correct et ses positions partielles et partiales n’étonnent plus personne dans la Diaspora africaine.
Voici donc ce que ce Monsieur a affirmé dans l’émission de France 5 le 9 octobre2014 :
Déclaration au cours de l’émission « C dans l’air » du jeudi 9 octobre 2014 du journaliste Vincent Hugeux, Grand Reporter de l’Express et couvrant l’Afrique.
« On peut expliquer aussi qu’il s’agit d’une invention des blancs … Vous avez quand même, pour mesurer la profondeur du fléau, du fléau psychologique, vous avez un professeur de mathématiques togolais, à l’université de Jussieu, qui dans un document adressé à l’Union Africaine, a soutenu qu’il s’agissait d’un plan concerté d’élimination ciblée des populations noires d’Afrique et d’Europe…On retrouve exactement les mêmes fantasmes qu’au moment du Sida ».
Voir http://www.france5.fr/emissions/c-dans-l-air/diffusions/09-10-2014_268687
Minutes 27 :30 – 28 :10.
Voici ce qui a été écrit dans la pétition adressée à l’Union africaine par Dr. Pascal Adjamagbo, Dr Guy Kodjo Alovor, Chirurgien et Médecin légiste et Dr Kanyana Mutombo,
Ou se rendre sur le site https://afrocentricity.info/evenements/annonces/petition-lunion-africaine-sida-lebola-en-afrique/2650
Alors où sont les fantasmes dont parlent Vincent Hugeux qui opte allègrement pour l’amalgame, la désinformation et la provocation. Il est question sur la base d’hypothèse troublante de proposer qu’une étude indépendante soit menée sur l’origine d’un certain nombre de virus et de bactéries qui, comme par hasard, tuent principalement en Afrique. Le fait même de promouvoir le fantasme comme argument fragilise l’argumentation de Vincent Hugeux qui semble d’ailleurs ne plus être le journaliste indépendant apprécié par certains mais un journaliste en mission commandée. Mais il est connu pour cela.
Qui trompe qui ? Qui désinforme qui ? Qui travaille contre les intérêts de la vérité ? Certainement pas ceux qui souhaitent une étude approfondie et indépendante sur l’origine du virus Marburg que le monde occidental a dénommé le virus Ebola. Si les dirigeants africains sont trop préoccupés à toiletter leur naïveté légendaire sur les options stratégiques qu’offrent le virus Ebola à leur population, les personnes conscientes dans la Diaspora africaine ne peuvent être soumises à ce diktat.
Voici les commentaires du groupe de réflexion, d’action et d’influence AFROCENTRICITY THINK TANK Sur les déclarations à l’emporte-pièce de Vincent Hugeux, proférées dans l’émission « C dans l’Air » sur France 5, du 9 octobre 2014 : 18-19h.
Vincent Hugeux doit avoir des problèmes de compréhension de texte. Il a été question dans une pétition adressée à l’Union africaine de faire une étude sur l’origine du virus dit « Ebola » et par extension des autres fléaux comme le VIH-Sida.
Cette étude aurait permis, s’il était fait par des experts indépendants y compris avec des Africains, d’identifier l’origine du virus Ebola et du Sida.
Par ailleurs, lorsque l’on cite un texte et qu’il y a trois signataires, la déontologie la plus basique consiste à citer tous les auteurs. Vincent Hugeux, avec tout le mépris qu’il a pour les deux autres co-signataires de la pétition, s’est gardé de les citer.
Enfin, Vincent Hugeux ferait mieux de s’interroger sur l’histoire de l’élimination des Indiens d’Amérique et plus largement sur le mode de disparitions de certains peuples originaires d’Afrique dès lors qu’ils sont en contact non sollicité avec le monde occidental.
Certaines civilisations ont disparu du fait de l’introduction en catimini de virus et de bactéries.
En parcourant l’histoire des conquêtes occidentales, Vincent Hugeux pourrait et devra réviser ses positions sur le fantasme de l’extrême droite française à moins que ses positions ne viennent conforter la thèse de l’ex-dirigeant du Front National français, Jean Marie Le Pen qui disait ceci, il n’y a pas si longtemps encore sans que cela ne fasse sursauter Vincent Hugeux :
« Monseigneur Ebola peut régler ça en trois mois », le ça signifie l’explosion démographique dans le monde, en France en particulier notamment celle d’origine africaine en France » ; voir http://www.rtl.fr/actu/politique/jean-marie-le-pen-le-virus-ebola-peut-regler-en-trois-mois-les-problemes-d-immigration-7772152350.
De toutes les façons, il suffit de réaliser une étude indépendante sur l’origine du virus Ebola pour permettre d’infirmer les hypothèses postulées à savoir : l’utilisation des populations noires comme cobayes pour des virus créés dans les laboratoires de type P4 pour l’essentiel situés en Occident. Alors, s’il s’agissait là encore de fantasmes, le monde le saura.
Vincent Hugeux est connu pour interpréter l’Afrique selon une certaine idéologie nombriliste où le centre du monde est l’Occident, pour ne pas dire l’Europe, voire la France, et qui sait, peut-être uniquement son village natal. Cette approche de l’analyse partielle et partiale ne laisse pas de place à la contradiction, encore moins à des propositions alternatives fondées sur des approches scientifiques et indépendantes. Son impertinence, qui n’engage que lui-même, le conduit régulièrement à dire tout haut ce que pensent certains Occidentaux tout bas au point de se considérer comme « celui qui peut parler au nom et à la place des Africains ». Mais, aucun Africain de la Diaspora ne lui a rien demandé et ne le croit d’ailleurs.
Mais comme on est en démocratie, il faut espérer qu’un droit de réponse sera consenti aux personnalités que Vincent Hugeux considère, de manière péremptoire et sans aucun argument convaincant, comme affichant des fantasmes. Si les moustiques n’ont pas éradiqué le peuple noir avec l’arrivée du VIH-Sida en Afrique, ce n’est pas le virus de Marburg, dit « Ebola » qui y arrivera.
Enfin, si les stocks très importants de bactéries et de virus émergents qui sont fabriqués dans les laboratoires P4, pour la plupart situés dans les pays occidentaux, relève du fantasme, alors peut-être que l’hypothèse posée pour une étude ne relève que du bon sens, et peut-être même de la prévention contre des velléités qui ont été vérifiées dans l’histoire de certains peuples mercantilistes et colonisateurs. Aucun peuple africain n’a agressé le peuple occidental. Mais le contraire semble devenir une banalité au point que certains journalistes considèrent qu’il s’agit là de « fantasmes »… Alors qu’il soit permis à chacun de fantasmer et le peuple fera la différence entre le « bon grain et l’ivraie ».
La confusion entre la recherche de la vérité et l’affirmation péremptoire semble servir de fondement à la conception très particulière de Vincent Hugeux. Il a le droit de s’exprimer. Mais qu’il ne s’exprime pas à la place de gens sérieux et avertis. Au demeurant, qu’il fasse son enquête sur l’origine de l’Ebola, il sera surpris de trouver les sources en Afrique, mais bien sur le sol occidental. Mais comme ce journaliste n’est pas considéré comme un journaliste indépendant, ses affirmations n’engagent que lui-même et ceux qui l’ont commandité.
Afrocentricity Think Tank, un groupe de réflexion, d’action et d’influence tenait à faire cette mise au point et demande un droit de réponse ou tout au moins un correctif pour ceux qui continue de croire que l’Afrique est une chasse gardée ou un pré-carré où l’on vient faire les tests en grandeur nature des bactéries et virus fabriqués dans les laboratoires financés par l’argent de contribuables occidentaux à qui on fait croire que c’est uniquement pour les protéger.
La douleur des morts et handicapés et des orphelins africains liés aux dysfonctionnements de ceux qui fabriquent les virus émergents ne peuvent rester sans réponse, n’en déplaise à Vincent Hugeux et ses affidés.
15 octobre 2014
Dr Yves Ekoué AMAÏZO
Directeur Afrocentricity Think Tank
info@afrocentricity.info.
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Mise en ligne 17 août 2014 sur www.afrocentricity.info
Proposée par le Professeur Pascal ADJAMAGBO
Avec la collaboration des Docteurs Guy ALOVOR et Kanyana MUTOMBO
Compte tenu de :
1) L’actualité brûlante de l’épidémie de l’Ebola, dont le pouvoir foudroyant du virus a amené l’OMS à décréter « une urgence de santé publique de portée mondiale » et à déclarer qu’ « une réponse internationale coordonnée est essentielle pour arrêter et faire reculer la propagation internationale du virus », sans soulever toutefois la question scientifique de l’origine réelle du virus et les manipulations à l’origine de sa diffusion pour le combattre efficacement ;
2) L’ampleur des ravages déjà causés par la pandémie du Sida dans le monde et plus gravement en Afrique subsaharienne où, selon les chiffres de l’OMS, vivaient plus des trois quarts des 30 millions de victimes du sida dans le monde jusqu’en 2013, où vivent actuellement 25 des 34 millions des porteurs du virus du Sida dans le monde et plus de 90 % des enfants contaminés dans le monde par ce virus, ce qui a amené l’ONU à créer en 1995 le programme ONUSIDA destiné à coordonner la mobilisation mondiale contre cette pandémie, sans que jusqu’à ce jour les moyens scientifiques et de renseignements dont l’efficacité peut être redoutable n’aient été mobilisés pour déterminer de manière sûre l’origine réelle et les mécanismes à l’origine de la diffusion du Sida afin de le combattre plus efficacement ;
3) L’irrecevabilité scientifique des thèses sur la transmission en Afrique, il y a seulement quelques années, des virus du Sida et de l’Ebola à l’homme en provenance de certains animaux qui en seraient des porteurs sains, puisque l’Afrique est le berceau de l’humanité et que les hommes et les animaux y cohabitent depuis des millions d’années, donc bien avant l’apparition des maladies du Sida et de l’Ebola à partir de la fin des années 1970, ce qui oriente indiscutablement les recherches sur l’apparition de ces maladies vers des causes humaines, plus précisément vers la mise au point et les manipulations « d’armes biologiques de destruction massive » dont l’Afrique sub-saharienne se trouve être la cible principale et la première victime sans comparaison avec d’autres régions du monde ;
4) L’attestation du programme COAST développé par le régime sud-africain de l’Apartheid entre 1980 et 1994, consistant en la mise au point et les manipulations « d’armes biologiques de destruction massive », dirigées sélectivement contre les populations noires d’Afrique, et incarné par Dr Wouster Basson surnommé « Docteur la Mort », comme le rapporte le journaliste français Tristan Mendès France, petit-fils de l’ancien Président du Conseil des ministres français sous le Président français René Coty, et administrateur de l’Institut Pierre Mendès France, dans son livre « Dr la Mort. Enquête sur le bioterrorisme d’Etat en Afrique du Sud », publié en 2002 et précisant : « Anthrax, Ebola, Sida, Choléra, stérilisation de masse, poisons chimiques ethniquement sélectifs, figurent parmi les armes envisagées par les autorités de l’Apartheid contre la population noire. Un projet de guerre biochimique à caractère raciste largement soutenu par les puissances occidentales. Mis sur pied en 1985, le programme militaire n’a apparemment pris fin qu’en 1994, sans que toutes les responsabilités soient clairement établies. A ce jour nul ne sait où a disparu cette technologie de mort ni entre quelles mains elle se trouve. Encore moins sait-on qui pourrait en faire usage ». (Voir la présentation du livre à l’adresse :
http://www.bibliomonde.com/livre/mort-enquete-sur-bio-terrorisme-etat-en-afrique-du-sud-1403.html). Tristan Mèdes France est également l’auteur du documentaire « Docteur la Mort » diffusé sur France 3 en 2002 (cf. http://www.youtube.com/watch?v=RKGDCnWTWIo), complété par le documentaire « Projet Coast : le génocide » diffusé sur Arte en 2009 (cf. http://www.youtube.com/watch?v=Hme1xB5OfTY);
5) Des accusations graves confirmant la collaboration scientifique internationale dont a bénéficié le programme COAST du régime de l’Apartheid, publiées par l’américain Dr Boyd E. Graves dans son livre « State origin : the evidence of the laboratory birth of AIDS » (« Origine Etatique : la preuve de la naissance en laboratoire du SIDA »), publié en 2001, où l’auteur démontre avec beaucoup de documents officiels à l’appui comment, sous le couvert de recherche sur le Cancer, le programme « Special Virus » lancé le 12 février 1962 par l’Administration américaine et ayant bénéficié de la collaboration de biologistes de renom comme le Professeur Robert Gallo, le co-découvreur officiel américain du virus présumé du SIDA, a contribué à la création, à la production et à l’inoculation en masse d’un « vecteur » du SIDA en vue de la destruction sélective et massive de populations noires en Afrique et aux Etats-Unis (cf. l’article « The history and the flowchart of the development of AIDS » à l’adresse : http://www.deepspace4.com/pages/diseases/pagediseases.htm voir une traduction partielle en français à l’adresse http://historyofnations.org/French/genealogy/aids.html), comme semblent le corroborer les pièces à convictions du documentaire « les origines du Sida », diffusé en 2004 sur la Deuxième Chaîne de la télévision belge d’expression française, explicitant le liens entre l’expérimentation contre la mise en garde de l’OMS sur plus d’un million d’enfants Congolais, Burundais et Rwandais entre 1958 et 1960 du vaccin « Tchate » du Dr H. Koprowski contre la polio à base de reins de chimpanzé et les premières attestations du SIDA dans le monde (cf. https://www.youtube.com/watch?v=1So0zWeryUA, remarquablement commenté dans l’article à l’adresse http://www.stanleyville.be/documents/Origines%20du%20SIDA.pdf);
6) Des liens troublants, dévoilés en 1996 par le chercheur américain Leonard Horowitz, dans son très documenté livre « Emerging Viruses: Aids & Ebola – Nature, Accident or Intentional? » (traduit en français sous le titre « La guerre des virus : Sida et Ebola – Naturel, Accidentel ou intentionnel ? »), entre d’une part l’OTRAGland, territoire de 100 000 km² vidé de sa population et attribué en 1976 par le président zaïrois Mobutu à une mystérieuse société allemande, OTRAG, supposée lancer des satellites dans l’atmosphère, alors que la NASA n’opère que sur 331 km², et d’autre part les industries et institutions travaillant dans le domaine de la mise au point des armes bactériologiques au sein de l’OTAN, démontrant ainsi que le SIDA et l’Ebola ne sont apparus de manière spontanée ni n’ont franchi la barrière d’espèce entre le singe et l’homme de manière naturelle, sachant que le virus de l’Ebola est apparu la même année que le «virus de Marburg» du nom d’une ville d’Allemagne où il a causé en août 1967 plusieurs morts parmi des laborantins qui le manipulaient sur des singes, avant de se manifester dans l’ex-Zaïre sous le nom «Ebola» en septembre 1967 ;
7) La nécessité morale de lever le doute sur toutes ces graves accusations de mise au point et d’usage « d’armes biologiques de destruction massive » et sélective sur un critère racial, de mettre fin le plus tôt possible à l’impunité intolérable d’un véritable « crime contre l’humanité », et surtout de protéger les populations visées contre la mise au point et d’usage « d’armes biologiques de destruction massive » et sélective sur un critère racial dont le pouvoir pourrait être plus foudroyant que celui de l’Ebola ;
8) La nécessité politique et stratégique de mettre fin le plus tôt possible au manque de réaction des autorités politiques africaines en vue d’agir efficacement et énergiquement en amont sur les causes premières des épidémies du SIDA et de l’EBOLA en Afrique, conformément à l’enseignement de la sagesse proverbiale africaine rappelant que « toute personne est traitée en fonction de son comportement supposé et de ses réactions supposées qui se lisent sur sa mine », et conformément à une des lois fondamentales de la dynamique connue sous le nom de « troisième loi de Newton » ou « principe des actions réciproques », affirmant que « toute action suscite une réaction d’égale intensité, de même direction et de sens opposé » ;
Nous soussignés, scientifiques, intellectuels, acteurs politiques ou de la société civile, demandons instamment aux plus hauts responsables de l’Union Africaine, notamment de la Commission de l’Union Africaine, de saisir en urgence le Conseil de Sécurité de l’ONU pour obtenir l’établissement en urgence d’un « Commission Internationale d’Enquête sur l’origine et la diffusion du SIDA et de l’EBOLA », sous l’égide du Conseil de Sécurité de l’ONU et de l’Union Africaine, dont le président et la moitié des membres devraient être nommés par l’Union Africaine, et devant déboucher selon ses conclusions sur la création d’un « Tribunal Spécial sur le SIDA et l’EBOLA » pour juger tous les responsables, commanditaires et exécutants, des crimes soupçonnés. Cela s’impose d’autant plus que le Conseil de Sécurité n’a pas tardé à établir une commission d’enquête internationale suivie d’un tribunal spécial à la suite de l’assassinat de onze personnes au Liban en février 2005 et que deux grandes puissances occidentales étaient prêtes à bombarder la Syrie pour l’utilisation supposée d’armes chimiques ayant fait un millier de victimes entre mars et août 2013.
Prière signer la pétition à la fin du texte à l’adresse :
http://www.petitions24.net/petition_a_lunion_africaine_sur_le_sida_et_lebola_en_afrique
Dr Yves Ekoué AMAÏZO
© Afrocentricity Think Tank, octobre 2014.
8. Annexe 1 :
LISTE DE QUELQUES LABORATOIRES PRODUCTEURS DE VIRUS DE TYPE P4 |
||
Pays |
Localisation |
Institution |
Afrique du Sud |
Johannesburg |
National Institute for Communicable Diseases |
Allemagne |
Berlin |
Institut Robert Koch |
Allemagne |
Hambourg |
Bernhard Nocht Institute for Tropical Medicine |
Allemagne |
Greifswald |
Institut Friedrich Loeffler |
Allemagne |
Marbourg |
Université de Marbourg, Institut de Virologie |
Australie |
Geelong |
Australian Animal Health Laboratory |
Australie |
Brisbane |
Queensland Health Forensic and Scientific Services |
Australie |
Melbourne |
Victoria Infectious Diseases Reference Laboratory (VIDRL) |
Australie |
Sydney |
Centre for Infectious Diseases and Microbiology Laboratory Service (CIDMLS) et The Institute for Clinical Pathology and Medical Research (ICPMR) |
Canada |
Winnipeg |
Laboratory Centre for Disease Control, National Microbiology Laboratory |
États-Unis |
Atlanta |
Centers for Disease Control and Prevention (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, CDC) |
États-Unis |
Atlanta |
Center for Biotechnology and Drug Design, Georgia State University |
États-Unis |
Fort Detrick |
U.S. Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID (en)) |
États-Unis |
Galveston |
Center for Biodefense and Emerging Infectious Diseases, University of Texas Medical Branch |
États-Unis |
Hamilton |
NIAID Rocky Mountain Laboratories |
États-Unis |
San Antonio |
Southwest Foundation for Biomedical Research |
France |
Gerland, Lyon |
P4 Jean Mérieux, INSERM |
France |
Vert-le-Petit, Essonne |
Laboratoire de la DGA |
Gabon |
Franceville |
Centre International de Recherches Médicales de Franceville (CIRMF) |
Italie |
Rome |
Lazzaro Spallanzani Hospital, National Institute of Infectious Diseases |
Royaume-Uni |
Londres |
Centre for Infections, Health Protection Agency |
Royaume-Uni |
Salisbury |
Centre for Emergency Preparedness and Response, Health Protection Agency |
Russie |
Koltsovo |
Centre de recherches d’état de virologie et de biotechnologie VECTEUR |
Russie |
Kirov |
Institute of Microbiology, Russian Ministry of Defense |
Russie |
Sergiyev Posad, Moscou |
Virological Center of the Institute of Microbiology, Russian Ministry of Defense |
Suède |
Solna, Stockholm |
Swedish Institute for Communicable Disease Control |
Suisse |
Genève |
Hôpitaux universitaires de Genève 4 |
Suisse |
Spiez |
Laboratoire de Spiez de l’Office fédéral de la protection de la population |
Taïwan |
Kwen-yang Laboratory (昆陽實驗室) Center of Disease Control |
|
Taïwan |
Preventive Medical Institute of ROC Ministry of National Defense |